Daddy Tshikaya
L’artiste plasticien Daddy Tshikaya, née en 1986, a été formé a l’Académie des Beaux-Arts de Lubumbashi. Il a participé a des expo collectifs à la galerie d’art contemporain « Dialogue » depuis 2001. En 2004 ses oeuvre font parti d’une exposition par le Musée Royal de l’Afrique Centrale de Tervuren sur le theme de la travaille entitulé « Nguyu ya Kazi ». Deux ans plus tard il reçoit le premier prix dans le concours de l’ONU pour l’art contre le SIDA. A la Halle de l’étoile et à la Halle de la Gombé à Kinshasa il a monté une exposition privé « Nani Na Nini » en 2009. Quand l’Asbl Dialogues et la Fondation Rachel Forrest offrent un don de scultptures monumentales à la ville de Lubumbashi pour son Centenaire en 2010, des oeuvres de Daddy y sont inclus dans l’exposition. Plusieurs expositions individuelles et collectifs au Congo et en Belgique ont renforcé sa carrière comme artiste visuel. Daddy a travaillé également sur la scénographie et l’accrochage d’autres exposition a Lubumbashi, parmis lesquels le plus récent est la troisième édition de la Biennale de la Photographie a Lubumbashi « Rencontre Picha ».
▶▶▶ Leo na Kesho
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Co-création: Les jeunes co-créateurs ont produit les fonds des toiles qui montrent cette pollution. Ils ont utilisé la peinture, le collage, des mots et de photos et l’artiste a ajouté ses couleurs et formes. Daddy a également produit une toile de taille diminuée pour a tirer le regard du spectateur, c’est la représentation de la nécessité de regarder de plu proche l’avenir. Toutes ces images deux dimensionnelles sont accompagné par deux sculptures en fer, qui montre les causes ainsi que les effets de la pollution.
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Vision d’avenir: L’œuvre produit pour Maono 02014 traite des effets secondaires de la pollution. Ce sont des effets de transformation et de déformations, des effets bizarre dans l’être humain. Il y a la pollution de l’air, d’eau, de la terre. Sur le plan mental il y a la pollution des mots qui frappe la psyché des personnes. La pollution détermine le visage de l’avenir.
